Le petit monde de Freya
Un stalag poussiereux dans quelque contrée ostique, qu'un prisonnier solitaire balaie mollement
Dire que seulement un mois il y a de ça
En un fort somptueux cabinet je trônais
Brassant de tous pays devises et monnaies
Pour la gloire et l'amour du tonnant Jehovah
Car ainsi qu'il est dit dans la docte Torah
C'est nous le Peuple Elu et par la appelés
A tout administrer et à tout régenter
Car sans nous, banquiers juifs, que serait la planète?
Qui à travers les temps de l'argent amassa?
Nous, Hebreux prévoyants et toujours si honnêtes!
Les Gentils ... sont gentils , mais par trop imparfaits
Et du travail le fruit profiter ne sauraient
La Providence a donc heureusement donné
A eux le dur labeur et a nous le profit
Mais voila qu'un beau jour de tout ça faisant fi
Des harpies , violemment, cet ordre ont renversé
Mais chut! je crois bien en entendre une arriver
Et il ne faudrait pas qu'elle me voit traîner!
entre Freya von Asgard
Scene 2
Viens donc là, vil faquin, pour toi j'ai du travail
Je vais t'utiliser comme tu le mérites
Car pour nous, Schutz Staffeln , tu n'es que du bétail
Ne crois pas qu'ici tu vas vivre en sybarite
Rabbi Tahlair , tremblant
Oh ma belle gardienne ayez pitié de moi
Car je sais bien qu'ici votre plaisir fait loi!
Freya von Asgard
Tais toi donc, flagorneur! Sinon tu vas tâter
Plus souvent qu'a ton tour de mon cruel fouet!
lui tends un god ceinture double et retrousse sa jupe d'uniforme sous laquelle elle n'a rien
Et en mon doux vagin mets-le soigneusement
Rabbi Tahlair s'éxécute puis considere d'un oeil inquiet le menaçant appendice
Eh bien qu'attends-tu donc pour ton falzar baisser?
Et ton mou postérieur dressé me présenter?
Rabbi Tahlair obéit ; elle le pénètre sans attendre
Hai! Hai! Hai! Hai! Hai! Hai! mon anus n'en peut mais!
Car à ce traitement il n'est pas habitué!
Freya von Asgard , hilare
Il faudra bien pourtant qu'il en fasse coutume
Car désormais je vais ainsi l'utiliser
Combinant à cet us qui mon désir allume
Le plaisir de t'ouïr ce tourment endurer!
Mais je viens! Oh je viens! remue donc un peu plus
Ou faut-il qu'au surplus je cravache ce cul?
Trop gras et trop pansu , un vrai cul de youpin
Inutile et menteur, escroc et margoulin
Ach mein Gott! Je jouis! Mon minou est comblé
Et de toi maintenant va se débarrasser!
Se dégage et commence a le cravacher , mais Rabbi Tahlair se sauve a quatre pattes en perdant son pantalon rayé .
Entre Rabbi To'kuh , maugréant
Rabbi To'kuh
Mais pourquoi suis-je là sans y pouvoir obvier?
Je me souviens que nous arrivâmes de nuit
Et que nous pénétrâmes à grand renfort de bruit
En cet aimable endroit ou nous étions conviés
Le matin s'y leva sur d'étranges mysteres :
Qu'etaient donc ces bâtis fumant dans le lointain?
Ne seraient-ce point la chaleureux fours à pain?
Mais deja , sans façons, en de glacés locaux
Nous poussait notre hôtesse en se gaussant tout haut
De notre désarroi , et de nos tristes airs
Et pour mieux se moquer, narquoise, chantonnait :
"Ils étaient des centaines, ils étaient des milliers,
Ils n'étaient pas très beaux, ils avaient de gros nez"
Tandis qu'à grand renfort de coups et de jurons
Nos habits et nos biens elle nous faisait quitter
En ces lieux nous laissant nus tels des nourrissons!
Aperçoit Freya von Asgard
Veuillez me pardonner, point vue ne vous avais
Se jette a genoux.
Freya von Asgard s'approche
Tout d'un coup m'envahit une intense chaleur
Qui assurément va raviver mes ardeurs
Ote sa vareuse sous laquelle elle n'a rien
Que ne puis-je goûter a ces beaux hémisphères
Dont la vue fait dresser ma queue et la rend fière!
Freya von Asgard , lui cinglant l'entrejambe de sa cravache
Mais quelle outrecuidance et quelle prétention!
Et pourquoi pas aussi la fourrer dans mon con?
Considère plutot celle qui de ma taille
Toujours roide et bien dure orgueilleusement saille
Souillée des déjections de ton laid congénère
Prends-la dans ta bouche et rends-la brillante et propre!
Saisit Rabbi par les cheveux et lui enfonce le god
jusqu'a la glotte
Brou! Frou! Grou! Gnou! Brou! Frou! Brou! Gnou! Frou! Gnou! Frou! Brou!
Freya von Asgard
En vain t'évertueras-tu à m'apitoyer
En roulant de gros yeux effarés de merou!
Mais tous ces mouvements réveillent mes instincts
Remue donc bien a fond ce bon godemichet
Et cesse cet affreux borborygme indistinct!
Freya jouit dans un grand cri, Rabbi To'kuh en profite
pour s'échapper!
Freya conduit les deux Rabbi a la chambre a gaz!
Rabbi Tahlair
Ou donc nous mènes-tu , atroce Walkyrie?
Et quel est ce nouveau baraquement honni?
Rabbi To'kuh
Et pourquoi de tels trous percent-ils les parois
De ce que je vois comme un bien funeste endroit!
Freya von Asgard
Il s'agit, juifs pouilleux , d'une salle d'hygiène :
Dans ces cavités qui tellement vous étonnent
Vous introduisez vos appareils génitaux
Un gaz acheminé par de secrets canaux
Viendra alors ôter tout autour de vos bites
Les morpions, les poux, bref, ces hideux parasites
Qui sur vos répugnants et puants membres grouillent
Comme vos sept tribus notre planète souillent!
Les Rabbis obtempèrent sans empressement