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Le secret d'une soupe de légumes bien réussie
Sur les doigts de ma main droite j'ai salivé
Energiquement j'ai ma foufoune frottée
Je me suis introduit tout d'abord un navet
Puis quand ont été mes muqueuses hydratées
A ce blafard légume a succédé alors
Une courgette dont le diamètre était fort
Réjouissant pour ma fente ainsi dilatée
Qui d'allégresse s'est mise à beaucoup mouiller
C'est ce jus qui procure à la soupe du soir
Ce fumet délicieux qui sait vous émouvoir !
Le nègre
Accostée fus-je un jour par un nègre hideux
Qui me dit :"Voudrais-tu à moi sucer la queue?"
Il me considérait de ses yeux globuleux
Sa lippe tordue en un rictus obséquieux
Sur son museau camus stagnait un air heureux
Que son épais cerveau devait croire astucieux
Mine je fis alors d'accéder à ses voeux
Fièrement il sortit un noir pénis affreux
Riant , je me penchai vers ce membre impérieux
D'un coup de dents , d'un seul , je tranchai cette queue
Et avant que n'en fuse un liquide impétueux
La lui fourrai dans son anus excrémenteux
Sait-on plus laid que ces êtres impétigueux?
Leurs paumes et leurs pieds rendent inharmonieux
Les teintes et couleurs de leurs noirs corps huileux
Ce rose sale qui apparaît outrageux
Répugne aux gens bien nés et leur semble injurieux
Leur faisant éviter tout contact infectieux
Le métissage
Multiracialisme? idée nauséabonde!
Abject conglomérat, et dégradé immonde
D'émétiques couleurs allant du noir au beige
Puanteur de sueur, execrable manège
D'épidermes graisseux , et de hideux mulâtres
A l'haleine fétide et au teint olivâtre
Ne comptez pas sur moi pour être métissée
Mon aryenne blondeur en serait infectée
Car quand dans un endroit je vois se mélanger
Ces peaux allant du brun au plus foncé marron
Je crois voir un WC tout débordant d'étrons
Où chacun sans tirer la chasse a déféqué
卍 Adolf mon amour 卐
Je voudrais tellement que revienne sur Terre
Ce divin moustachu nommé Adolf Hitler
Que surgissent partout des sections d'assaut
Qu'on entende à nouveau le bruit de bottes et que
Sur tous nos boulevards défilent les cohortes
Brandissant fièrement la svastika bien haut
La lueur des flambeaux reflétant sur leurs casques
D'un nouvel avenir l'espoir qui nous transporte
Qu'on rende son honneur à notre continent
Nettoyé et purgé à tout jamais de ses
Africains, Maghrébins, et races sémitiques
A la mer rejetés , sur des écueils drossés
Dans les champs, dans les prés, qu'on s'ébatte à présent
Nus comme quand régnaient les dieux païens dans nos
Campagnes ! Qu'on se roule , ardemment, sans repos
Et qu'entre seuls Aryens désormais on fornique !
Amis européens , donnez-moi maintenant
Vos verges afin qu'en un faisceau mes mains les
Réunissent ; licteur de la Nouvelle Europe
Est pour lors ma fonction . Du pire ou du meilleur
La langue étant capable ( ainsi parlait Esope )
J'userai de la mienne avec grande douceur
Pour faire gicler ces organes à grand jets
De jus national - socialiste blanc !
Eros et Thanatos
Ivre de ce remugle, enfant de la victoire,
du charnier dont l'odeur est celle de la gloire,
doucement je prends ton visage entre mes mains.
Et c'est là, étreignant mes seins contre tes seins,
qu'au fond de mes yeux tu lis le désir ardent
que furieusement nous copulions en
mêlant nos cris d'extase aux râles des blessés
et des agonisants. Nos corps nus barbouillés
sauvagement avec leurs restes putréfiés,
convulsivement j'aime ainsi donc m'accoupler:
mon visage dans ton vagin et toi pareil,
tes lèvres enserrant mon clitoris vermeil
gonflé par le désir. Emplissant nos poumons
de l'âcre odeur du sang, nos corps nus s'aiment sur
les amoncellements de morts dont les phlegmons
suppurent en lésions d'où pointent des fémurs
et autres os brisés .Le rythme s'accélère,
nos talons battant ces chairs douceâtres et molles
en font gicler le pus qui, telle une corolle
s'épanouit ornant nos amours gémellaires
Genèse de l'islam
Tout au fond d'une grotte, en un mont reculé
Le prophète sa mule ardement enculait
Lorsque dans un fracas descendit droit du ciel
Dans toute sa splendeur , l'archange Gabriel
A cette apparition , de terreur enchantée
D'âne et de jument la bâtarde épouvantée
Fit entendre son cri , en chiant tout son foin
Effrayant les chacals , les fennecs, les bédouins
Mahomet aussitôt remballa son épieu
Et décida : "Telle est la parole de Dieu!"
Il s'empressa de tout aussitôt bien noter
Les bruits de l'animal ainsi sodomisé
Ainsi vint ce bouquin dénommé Le Coran
des braiements d'une mule enculée tout le temps
Islam décida t-il serait le nom donné
A cette religion nouvelle et révélée.
Prophète devenu, Mahomet vint prêchant
De-ci de-la sur sa fidèle haridelle
Honorant tous les soirs de son pénis la belle
Et sans faillir notant ses braiements et ses pets
Les couchant par écrit par le bout de son vit
Il décida de les appeler les Hadith
Puis essuyant son gland tout merdeux et puant
Repu et fatigué , s'endormit en rêvant
Sa femme Khadidja au vagin délaissé
Avec des canidés au mieux se consolait
La chatte pleine de rahat-loukoums séchés
Elle se la faisait par des chiens pourlécher
Voila vraiment contée de l'Islam la genèse
Qui telle une diurèse infecte s'étendit
Par-delà le désert , de contrées en pays
Enflant et grossissant comme un furoncle obèse
Sachez-le , il n'y a qu'une seule façon
De traiter les méfaits de cette religion
Sans faiblir armons-nous et éradiquons la
Pour qu'en paix nous puissions exister ici-bas !
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