Le petit monde de Freya

Par un funeste jour d'un fort torride été
Une horde puante et vêtue de haillons
Venue d'une contrée obscure et reculée
Quitta son Afrique et traversa l'Hellespont

Leurs cheveux torsadés , leurs yeux noirs affamés
Ils allaient, enragés, la peau brune et brulée
De la croûte chutant de leurs bras ulcéreux
Et leurs pieds deformés frappant le sol poudreux

C'est qu'un douteux présent , a l'Europe assoupie
Ils prétendaient porter , et pour cela voulaient
S'installer en nos lieux sans avoir coup feri
Le droit du sang ainsi en droit du sol changé !

Arguant de nous avoir par leur seule présence
Enrichis de facon a nulle autre pareille
De tam-tam, de you-you, de dreadlocks, de reggae
Et de plats offensants nos nez et nos palais

Dûment encouragés a venir s'installer
Par de ces faux Francais , rejetons d'Abraham
Qui préfèrent pourtant les €uros aux dirham
Laissant les vrais Francais subir les immigrés

Pour leur emprise assoir ces maudits fils de Sion
Dans la malignité convenant a leur race
Pronaient le métissage , un funeste poison
Rêvant notre patrie étouffée sous la crasse

L'infection s'étendit jusqu'aux nobles racines
De cette arbre sacré qui supporte les nues
S'en trouva ebranlé Ygdrasill le grand frêne
Et du sage Mimir l'eau du puits corrompue

Wotan fut prevenu par ses sombres corbeaux
Que grande catastrophe fort imminente etait
Dans l'oreille du borgne ils coasserent haut
Qu'avant cette vesprée agir il convenait !

De Niflheim , cet empire ou les morts se lamentent
Il fit tout aussitôt surgir femme sans peur
Une magnifique Eve de sang pur et nordique
Qui de cette saga n'est autre que l'auteur

Terrible Walkyrie aux nichons tout d'acier
Aux yeux bleus si glaces qu'on pouvait s'y mirer
Tel un oriflamme ses blonds cheveux flamboyaient
Et sur son bouclier svastika arborait

Portee par l'aquilon , un jour de ramadan
Arriva la nouvelle ange de destruction
Les hordes allogènes, à l'injure si prompts
Resterent coi devant ce fléau surgissant

Saisie incontinent d'une ardente fureur
Cette rage nordique laquelle est dedans la
Langue de ses ancetres appele berserker
Sonnant des espérances des immigres le glas

Son glaive s'abattant, de taille et d'estoc
Elle se mit à frapper cette masse gluante
De sous humanité en tous points répugnante
Leurs plaintes ravissant son coeur dur tel un roc

Debris sanglants, membres tranchés, tetes coupées
Bientot le sol jonchèrent, le sol buvant ce sang
Impur et inférieur qu'avec joie elle avait
Fait couler a grand flots furieux et bouillonnants !

Maintenant il fallait le sol de la patrie
Au plus vite de ces objets débarrasser
Sur une solution elle s'interrogeait
C'est alors qu'a l'esprit une idée lui surgit

D'une résolution farouche le coeur plein
Elle les surplomba de son cruel vagin
Ignorant des mourants pathétique sabir
Qui comprenaient enfin que tous allaient périr

D'urine et de cyprine un torrent déversa
Qui des envahisseurs les restes emporta
Nettoyant pour toujours le sol de nos ancêtres
De l'ignoble infection amenée par des traîtres

Mais restait encore a châtier lesdits traitres!
LICRA MRAP et consorts , sans bien sur oublier
Le CRIF et tous ceux qui se gardaient de paraître
Gauchistes et francs-macons immondement mélés

Ceci fera l'objet d'une saga prochaine
Qui j'ose l'esperer , mes fidèles lecteurs
Vous plaira tout autant , et charmera vos coeurs
Dans l'espoir qu'à nouveau ma plume se dechaîne!