Pour cet opéra Mozart a écrit sa musique la plus ombrageuse, la plus haletante, la plus extrême, mais aussi la plus parfaite - à l'exception peut-être du Concerto pour Clarinette. En cet ouvrage ...
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Dans mon incessant Kulturkampf contre la dégénérescence artistique de notre désastreuse époque, j'ai à coeur, comme vous avez pu le constater dans les articles précédents, de rappeler aux esprits européens encore perspicaces que notre musique a une âme germano-slave et non africano-sémite - et que ce n'est pas parce que les alexandrins répondent à des règles strictes qu'ils sont nécessairement ennuyeux.