Successivement attribuée à Franz-Joseph Haydn, puis à Léopold Mozart, cette symphonie en trois mouvements serait en fait l'oeuvre du moine bénédictin autrichien Edmund Angerer (1740-1794)
:
Dans mon incessant Kulturkampf contre la dégénérescence artistique de notre désastreuse époque, j'ai à coeur, comme vous avez pu le constater dans les articles précédents, de rappeler aux esprits européens encore perspicaces que notre musique a une âme germano-slave et non africano-sémite - et que ce n'est pas parce que les alexandrins répondent à des règles strictes qu'ils sont nécessairement ennuyeux.