Cette brève danse tourbillonnante et enfiévrée, qui se trouve dans le dernier acte, est certainement le mouvement le plus connu du ballet Gayaneh en quatre actes, sur une musique d'Aram ...
(en référénce au défécateur de la prose de http://guionnet.wordpress.com/ ) Dans les cieux issisois voyez cet Aigle Noir Dans ses serres tenant le journal Revision Parfois comme un stuka l’oiseau ...
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Dans mon incessant Kulturkampf contre la dégénérescence artistique de notre désastreuse époque, j'ai à coeur, comme vous avez pu le constater dans les articles précédents, de rappeler aux esprits européens encore perspicaces que notre musique a une âme germano-slave et non africano-sémite - et que ce n'est pas parce que les alexandrins répondent à des règles strictes qu'ils sont nécessairement ennuyeux.