Le petit monde de Freya

 Le christianisme a de tous temps et beaucoup de mal avec le Filioque d' ex Patre Filioque procedit , ce qui a entraîné une série de schismes fort préjudiciables .

Alors qu'en est-il ? l'Esprit est-il issu du Père par le Fils, est-ce le Père qui est premier par rapport au Saint-Esprit ( monopatrisme orthodoxe ) ? ou le Filioque exprime t-il également la consubstantielle communion entre le Père et le Fils ( filioquisme catholique ) ? Deux personnes, l'une divine et l'autre humaine, coexisteraient-elles en Jésus-Christ ( nestorianisme ) , ou Jesus n'est-il qu'un homme et n'y a t-il donc point de consubstantialité ( arianisme ) ?

Essayons d'y voir clair : dans l'hypothèse de la consubstantialité du Père et du Saint-Esprit , le Fils est engendré du Père par le Saint-Esprit _ ou du Saint-Esprit à l’initiative du Père _ donc l’Engendrant engendre l’Engendré en un Souffle d’Engendrement : l’Un engendre l’Un dans l’Un, l’Altérité d’être le Vivant, d’être Source de sa propre Vie. Il devient alors difficile , voire impossible , de voir l’égalité des personnes si l’on reste dans une conception rigide comme vos pénis : car seul le Père engendre et tandis que le Fils et le Saint-Esprit sont incontestablement inférieurs au Père bien qu’égaux entre eux... de surcroît l’unité de l’essence n’étant ni inférieure ni supérieure à la trinité des Personnes, il est donc tout à fait permis d’exprimer la consubstantialité du Père et du Fils de cette autre façon : le Saint-Esprit procèdant du Père par le Fils _ ou et du Fils, mais à l’initiative du Père car étant Seul Principe sans Principe _ nous nous retrouvons avec : l’Aimant et l’Aimé dont dérive l’Amour , la Charité nécessitant l’Altérité de l’Union !!!

Pour achever d'obscurcir le tableau, il faut considérer que le fait que ces trois Personnes sont consubstantielles va de pair avec le fait qu'il n'y a pas de subordination entre l'unicité de l'essence et la trinité desdites Personnes !

J'ai donc pensé, pour en finir avec toutes ces dommageables querelles en ces temps où l'Unité Spirituelle de l'Occident est au bord du gouffre, de proclamer la Consubstantialité de mes Nichons comme nouvel objet de Culte et d'Adoration

Lumière de vos regards charnels , divins par leur substance autant que par leur apparence, Uniques par leur beauté et Deux par leur nombre , mes Seins réaliseront avec mon Vagin une nouvelle Sainte Trinité d'amour qui remplira vos coeur de grâce et vos phallus d'énergie divine .

Composée en 1847 pour piano seul, cette ″deuxième rhapsodie hongroise″ sera orchestrée en 1857-1860 (avec cinq autres rhapsodies) par Franz Liszt lui-même, et c'est sous cette forme qu'elle deviendra extrêmement populaire ; c'est certainement la plus érotique de ses oeuvres, et son audition m'inspire toujours des fantasmes de chevauchée hongroise "à la hussarde". J'ai réalisé cette vidéo pour faire partager à mes fidèles lecteurs les émois cavaliers et conquérants qui m'étreignent à chaque écoute:

Edvard Hagerup Grieg, né le 15 juin 1843, à Bergen, et mort au même endroit le 4 septembre 1907 était un compositeur et pianiste norvégien de la période romantique. En 1874, il composa une musique de scène pour la pièce de théâtre "Peer Gynt" du dramaturge norvégien Henrik Ibsen. Des 22 numéros, Edvard Grieg en sélectionnera huit, les arrangeant et les réorchestrant en deux suites pour orchestre symphonique, respectivement op.46 et op.55. Ce que je vous propose ici est le quatrième et dernier mouvement de la première suite, ardemment mis en scène avec le concours d'une amie.